Premiers pas dans l’école de langue, premières expériences d’une vie de Digital Nomad, progrès en Machine Learning et … signature d’un contrat aux USA :D. Comme Bruce Lee, j’ai vécu une vraie JOURNEY. Un grand nombre de possibilités s’offrent à vous lorsque vous sortez de votre zone de confort. Je vous raconte tout dans l’épisode 2 de la série de l’été : DATABIX À LA SILICON VALLEY.

Welcome to Kaplan Universityyyyy !

Nous sommes lundi 8 juillet, aujourd’hui c’est la rentrée des classes à l’Université Kaplan international. Je suis accueilli à bras ouverts par la directrice « Welcome to Kaplan University ! ».Après quelques formalités, la journée débuta par un test d’anglais afin d’évaluer nos niveaux hiérarchisés de A1 (niveau élémentaire) jusqu’à C2 (bilingue). Après 40 minutes de test, je suis affecté au groupe B2 considéré comme moyen supérieur. Une fois dans ce groupe, il nous a été demandé de nous socialiser avec les autres membres de ce groupe B2. Je fais donc connaissance avec des personnes venues du monde entier : Alfonso de Barcelone, Félix et Bruna de Rio, Andriy de Russie, Jackie de Corée de Sud. Un beau mélange inter-culturel…

Après une première matinée introductive, on nous distribue les plannings de cours. Je serai donc tous les matins de 8h30 à 11h30 à l’Université pour mes cours d’anglais, ce qui me laissera les après-midis pour mes rendez-vous, le machine learning et le travail à SCHOOLAB. Lors de cette matinée, je tombe justement sur une affiche de METIS , centre de formation spécialisé en Data Science, proposant des bootcamps gratuits autour du machine learning, organisés en partenariat avec KAPLAN UNIVERSITY. Quelle belle opportunité que m’envoie l’Univers !! Sans hésitations je m’inscris à l’ensemble des bootcamps proposés par METIS pendant l’été !

Après une matinée intensive et un repas rapide, je me dirige vers la SCHOOLAB, situé à 10 minutes à pied (7 minutes à pas de Bilkher 😉 ) jusqu’à la fin de ma journée pour me remettre sur ma formation de machine learning avec Stanford University.

Au lendemain matin, je reprends mon rythme avec un réveil à 5h. Je m’efforce à prioriser mes échanges avec mes amis, clients et ma famille qui sont 9h dans le futur et qui me font part des actualités et notamment des températures très élevées en France. Deuxième journée à Kaplan University pendant laquelle nous devons former des groupes de 3-4 étudiants afin de nous présenter et présenter « un grain de folie » que nous avons déjà réalisé. Pour ma part, j’ai présenté mes expériences aux championnats du monde de lecture rapide. Tout le reste de la matinée, nous avons fait différents exercices de compréhension et appris des expressions qui permettront de « crédibiliser » notre vocabulaire. Parfait pour gagner en professionnalisme :-).

Pour la pause déjeuner, j’ai rendez-vous avec Dan, un prospect en SEO présenté par un ami commun. Dès les premières échanges, le feeling, si cher à mes yeux, passe bien entre nous. Une fois les amabilités passées, j’ai fait mon premier speech et pré-audit en anglais, ce n’était pas un exercice simple, mais qu’importe, Dan semblait content de ma présentation et voulait connaitre les modalités de notre collaboration. À la suite de cette rencontre positive de 3h, je poursuis ma journée à SCHOOLAB, où différentes startup me sollicitent pour avoir des quickwins SEO. Très vite, nos conversations dérivent aussi vers les soft skills. Woaw, j’ai l’impression de ne rencontrer que des personnes avec qui je partage le même état d’esprit, comme si les planètes s’alignent !

Après une journée pleine de rencontres, je fais la connaissance le lendemain matin de Annie la femme de Rolando (mon hôte) qui était partie en croisière en Europe. Ma famille d’accueil est maintenant au complet et le feeling semble très bon aussi avec Annie.
La routine de ma vie américaine s’installe, je pars direction Kaplan University pour mes cours d’anglais. Au programme du mercredi 10 juillet, nous faisons un « Ted talk », une activité qui consiste à visionner une conférence TED et noter les mots de vocabulaire qui nous manquent pour en apprendre leur définition.
L’après-midi, je me consacre au premier gros devoir de machine learning demandé par Stanford University. Il m’est demandé de programmer en OCTAVE et de faire de la prédiction en créant notre propre algorithme de régression linéaire (Ne fuyez pas chers lecteurs !!!). Petite fierté personnelle, je commence à créer mes premiers algorithmes sur un langage que je ne connaissais pas encore il y a une semaine. On the road to success !

La journée suivante m’a permis de découvrir et de manger dans les locaux de Google à San Francisco avec Dan, mon prospect rencontré mardi dernier. Les locaux sont atypiques, tout est fait pour que les employés se sentent au mieux dans les bureaux. Il y a des espaces de jeux et des espaces verts dans les locaux. La nourriture est diversifiée et de bonne qualité. J’ai profité de ce repas pour finaliser les conditions et prochaines étapes de notre éventuelle collaboration. En une semaine, j’ai donc appris à créer un script en machine learning et signé un client pour DATABIX. C’est allé si vite … Cette rapidité semble témoigner d’une chose ici : les Californiens sont prêts à collaborer à partir du moment ou le feeling passe bien. J’attends de prendre du recul les prochaines semaines pour confirmer ce sentiment. D’ailleurs, ce nouveau client permet de légitimer le nouveau statut international de mon entreprise : DATABIX a désormais des clients aux USA ;).

Cerveau en surchauffe

C’est donc avec une certaine satisfaction que j’aborde le début du week-end … Mais l’univers a prévu d’autres plans pour moi. Comme mentionné ci-dessus, je me suis inscris au BOOTCAMP en data science organisé par METIS. Cette formation est donnée par une doctorale en data science, la crème de la crème offerte pendant une journée !
Nous avons fait des exercices avec PANDA et SCIKIT LEARN, 2 framework (librairies de données) du langage de programmation PYTHON. Le BOOTCAMP fut extrêmement dense et le tout en anglais. Mon cerveau sort de ma zone de confort, c’était difficile de suivre mais je pense avoir capté les idées principales.

J’ai poursuivi la journée avec 1h30 de travail supplémentaire sur le module du programme de Stanford, mais mon cerveau en a décidé autrement. Impossible d’être plus productif car j’avais trop sollicité ma caboche après une semaine extrêmement dense en apprentissage. J’ai besoin de recharger les batteries.
Et quoi de mieux pour recharger les batteries que de s’offrir une soirée au cinéma suivi d’un gros burger ? Au programme du repos : Aladin … en anglais bien sûr, car dans le repos on continue à bosser … Un peu ;-),

Une semaine très intense mais j’ai réussi à tenir le rythme, je tiens bon et je continue à avancer petit à petit pour atteindre mes objectifs !

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